Mikhail Porollo essaye, à partir d’une série d’autoportraits, de s’analyser et de s’accepter. Dans la série 'Imperfection of form', il fouille dans différentes écoles et époques, parmi différentes œuvres d’art emblématiques qui reproduisent le corps humain. Il questionne ainsi les canons en vigueur concernant le corps humain et la pression qu’ils font rejaillir sur notre société.

Mikhail Porollo est un photographe russe du monde. Il vit à Bruxelles mais il a étudié en Afrique du Sud, en Russie, en Namibie et au Saint Martins College à Londres.

***

Depuis l’époque romaine, les habitants du Sud de la France vivent parmi les vignobles. Aujourd’hui encore, la vinification est la première source de revenus dans le Languedoc-Roussillon. Pourtant, les vignes épuisent complètement le sol, désormais trop pauvre pour quasi tout autre forme d’agriculture. Se Sufficientiam – l’expression latine pour “autosuffisant” – dresse le portrait d’une femme qui a développé dans cette région stérile, autour de son maison isolée, un système écologique autonome. Elle vit en harmonie avec la nature et est devenue un exemple dans le domaine de la réflexion et de l’action écologiques.

Le photographe Jonathan De Mont (1990) s’est immergé complètement dans un microenvironnement. C’est ainsi qu’il a essayé de comprendre et de saisir le fonctionnement et la signification profonde du monde. Il a méticuleusement exploré ce sujet qu’il nous livre documenté avec vigilance, et avec esthétique.